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déprime

salut

je n’ai pas créé un blog pour me plaindre

mais j’ai traversé une période difficile

quand on a envie de rien, c’est compliqué de faire quelque chose de constructif pour sortir des noires ruminations

12 réponses sur « déprime »

Tentez le sport la poesie le ballet ..puis le prozac et si ce mal etre ne cede toujours pas ..n attendez plus..optez pour un antidep teicycliques un pur un vrai ..en qq heures guere plus vous serez peut etre a nouveau plein de vie ..en tt cas chez moi ca marche ..pfff ..courage et tentez tout ..j ADORE VOUS LIRE ..grace a vous j ai decouvert plein de teucs interessants voire passionnants par moment …donc deja permettez moi de jiste vous dire ..MERCI ..@psolere

C’est « marrant » je pensais à toi récemment, j’aime bien tes podcasts non codifiés. Je les trouve plus intéressants que toute l’industrialisation qui est faite actuellement dans le domaine.
J’organise principalement mes voyages en solo et c’est vrai que c’est presque plus compliqué que les épreuves en elles-mêmes. Ça prend beaucoup de temps et d’énergie mentale. Pourquoi ne pas faire un 300km en solo depuis chez toi ?
Je roule principalement sur pistes cyclables et voies vertes, c’est beaucoup moi de stress que d’être confronté à la circulation.
Au plaisir de te lire et de t’écouter à nouveau 🙂
(je ne suis pas un stalker, je suis juste abonnée à ton flux RSS 😉 )

ah ah ah c’est marrant comme le terme stalker vous a « provoqué » ! En fait, je pense que la qualité est tellement médiocre avec les écouteurs/micro en roulant que personne n’écouterait ça à part daddy the beat 😉

Concernant les voyages à vélo, j’ai bien fait un 300 avec deux potes y’a peu de temps, ça a fait du bien ua moral de voir que ça passait sans trop de préparation. Mais je reviens tjrs au même truc sur ces longues sorties, y’a quand même un moment au bout de 10 heures environ où j’en ai ras la casquette. Après, je pense qu’en poussant plus loin, on peut rentrer dans une sorte d’abnégation où l’on est réduit à une avancée plus douce sur le chemin, contraint de s’adapter à la fatigue. Et j’étais tenté de connaître ça, se détacher du chrono, du kilométrage, des watts, de l’objectif, etc. être plus « poète » dans la gestion de l’effort comme ils disaient dans le film sur la TCR. Malheureusement, les chauffards m’épuisent…

salut,
j’irai regarder mais Denis Riché m’a l’air d’avoir fait un virage mystique il y a quelques années. j’ai essayé de lire le dernier bouquin qui traitait d’épigénétique il y a quelques années, il m’est tombé des mains.

Et j’suis pas scientifique, je suis médecin 😉 et en passant, ne vous considérez pas comme un Mickey, vous faites de belles choses dont vous pouvez être fier, j’en suis sûr

J’ai donc regardé une grande partie. Les plantes adaptogènes c’est un peu une limite intellectuelle pour moi, quand on parle de principe actif et en même temps d’innocuité, je bloque.
M Riché parle bien, il mêle anecdotes qui nourrissent (ahah) son narratif, données à caractères scientifiques et techniques de communication. Je connais ces techniques de com’ pour les avoir aussi étudiées et je pense mettre en pratique pas mal de choses avec mes patients. Il tient le discours classique des « micronutritionnistes » un seul élément vous manque et tout se débobinerait. C’est plus complexe que ça la biologie. Et quand bien même je suis en phase avec beaucoup de phénomènes qu’il décrit, j’appelle à la prudence avec son attitude de thérapeute surtout dans un topo sponsorisé par une boîte de compléments alimentaires. Après avoir écouté ce genre de topo, combien de gens vont avoir envie de prendre une plante machin pour gérer le stress plutôt que de s’attaquer (avec aide) au problème de fond ?
Concernant les protéines et les apports caloriques, c’est quelque chose donc je suis conscient. J’ai d’ailleurs fait un focus là dessus ces dernières semaines et ça aide peut être. Le nœud du problème c’est quand même une accumulation d’évènements stressants, un peu côté vie perso et surtout trop de stress professionnel. Ce qui me perturbe particulièrement puisque jusqu’à présent j’étais bien dans mon job et l’équipe où je pratique, mais nous vivons bcp de changements déstabilisants et le manque de ressources humaines aggravent tout ça et mène à la vision d’une sorte de tunnel noir. On ne voit pas de solution à court terme à nos difficultés.

Bonjour, vous êtes médecin, vous y avez très certainement déjà pensé… une anémie peut favoriser une « déprime » par manque d’énergie.
Bon courage pour remonter la pente.

Comment découvrir un blog sympa en faisant une recherche sur un nootrope…la beauté de l’internet.
Haut les cœurs!
Enfile tes baskets et direction la Citadelle. Ou la Deûle. Ou le mont Saint-Aubert. Ou les terrils. Bref.
Le choix est large.

Du Vélo parlé, on peut dire que c’est un Vlog ?

je partage ton avis sur le milieu de l’ultra cyclisme qui ne me semble pas si ouvert que ça. Du moins je le trouve assez froid. C’est un autre monde, qui ne me semble pas du tout compatible avec la vie quotidienne de beaucoup de monde qui bosse à temps plus que plein. Mais peut-être que je ne suis pas assez cycliste pour m’y faire, et j’ai plein de préjugés sur les gens qui ont des vélos plus chers que ma moto 🙂

Pour la muscu, ça m’a fait marrer ! je me limite au renfo (poids de corps, élastiques) et je suis nul, inconstant, mais ça fait du bien. Ne serait-ce que pour la vie quotidienne et pouvoir porter, bricoler. Même l’esthétisme joue 🙂
En tout cas je suis persuadé qu’il faut insister, surtout avec l’âge.

Sinon, pour ta déprime, un « petit » objectif sans vrai chrono, juste avec le plaisir de se donner à fond et de réussir à prendre du plaisir dans l’effort sera à mon avis très bénéfique !
J’ai beaucoup de mal à lâcher prise sur la quantité et qualité des séances depuis que j’ai changé de boulot. Saleté de charge mentale. Mais ça vient progressivement avec l’acceptation d’en faire moins (ou de faire moins de répétitions) pour être plus disponible pour le reste. Je crois que j’ai réussi un petit cap avec l’écotrail en mars que j’ai préparé moins fort en acceptant d’aller moins vite. Il faudrait que je retrouve le chemin du blog pour en parler…
En tout cas j’espère que David va l’écouter 🙂

Salut Julien,

un grand merci d’avoir écouté ma complainte en qualité Audio K7 1991.
Sur l’ultra cyclisme, je veux bien le faire sans voiture, faudrait que je me laisse pousser la barbe, que je double ma consommation d’IPA locale et que je me mette au gravel (et que je rajeunisse de 15 ans aussi LOL). Un copain de vélo, un poète endurant, a fait la RAF 1000. Il en a chié. Surtout que la météo était moisie. Il n’a pas trop aimé l’organisation à ce que je comprends. Et surtout, il y a eu un mort percuté par un voiture. Ce genre de drame me déchire, j’aimerais ne pas stresser en roulant mais comme c’est une seconde nature chez moi d’envisager le pire, forcément j’y pense… (seconde nature nourrie par un terrain anxieux et l’habitude professionnelle…)
Sur la muscu, j’ai longtemps cherché plein d’excuses pour ne pas y aller : biais cognitifs, pas le temps, ambiance. avec deux mois de pratique, je suis persuadé que soulever du lourd a du bon. C’est la première fois que je peux dire depuis longtemps qu’une nouvelle pratique me fait du bien. Y’a vraiment eu une différence palpable. J’ai même pu refaire une séance d’1,5h a pied, ce que je n’avais pas fait depuis un an !
Concernant l’objectif, j’en ai trouvé un ! le dernier we des vacances, dans ma ville fétiche de vacances : Morzine. C’est tombé du ciel dans un mail de pub !
A propos de l’emprise du boulot ou des autres facteurs stressants dans la vie, c’est sûr et certain, c’est très (trop ?) difficile de progresser en sport quand on a du stress à côté du stress physique du sport. Y’a pleins de données scientifiques qui vont dans ce sens en plus des nombreux témoignages. Perso, je ne suis pas sorti de mes ruminations professionnelles. J’aime vraiment l’activité que j’ai : je me rends au travail à pied ou en vélo, je suis entouré de gens compétents, la relation avec les patients est quelque chose que j’aime. Ce qui me mine c’est la dégradation de l’ambiance à l’hôpital, c’est morose et quelques collègues pourrissent le jeu par des comportements inacceptables mais je ne peux pas écrire plus là dessus.
A propos de ton écotrail, on est un peu synchro dans nos âges et pratiques. Moi j’ai eu un regain de confiance en faisant un Lille-Hardelot-Lille à vélo sans travail particulier. Lille-hardelot fait 170 bornes, c’est une tradition locale tous les ans au mois de Mai, un super évènement sportif et familial à la cool. Notre défi de glo-glo triathlète c’est de faire le retour en vélo après avoir mangé à Hardelot 🙂

Je pense que daddy a écouté, s’il vloguait sa galère, je l’écouterais aussi.

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