Je viens d’écouter ce vélotaf.
J’ai beaucoup aimé tes interrogations car je les partage.
Je te rejoins sur le parallèle entre les publications de l’entraînement et ceux de la médecine : garder un esprit critique et aussi l’importance de l’expérience qui aujourd’hui n’est plus considérée comme élément probant.
Ainsi, dans tous les messages de dépistage, dans tous les traitements dit préventifs, il n’y a aucune place pour l’expérience car le médecin ne peut pas voir le résultat de son action dite « préventive ». Il fait alors confiance aux études, aux statistiques toutes plus positives les unes que les autres. Mais est-ce que ces études sont vraiment « fiables » et deuxième question ( encore plus importante) le résultat de ces études est-il transposable dans la vie réelle ?
Pour les progrès à venir, j’avoue être assez dubitatif et lutte pour ne pas « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Merci d’avoir eu la tolérance d’écouter mes élucubrations de lendemain de garde !
Pour ma part, j’ai vécu à deux reprises une sorte de passion, d’emballement vis à vis de la lecture d’articles. Au début de mon internat, puis récemment dans le sport après le marathon de Berlin.
Maintenant, je prends du recul.
Je ne rejette pas cette façon de travailler, j’espère juste avoir élargi ma palette d’outils pour réfléchir et agir face à ce qui m’intéresse.
(ça ferait de belles idées de billet toussa… mais aujourd’hui aussi je sors de garde ;))
2 réponses sur « Velotaf #8 »
Je viens d’écouter ce vélotaf.
J’ai beaucoup aimé tes interrogations car je les partage.
Je te rejoins sur le parallèle entre les publications de l’entraînement et ceux de la médecine : garder un esprit critique et aussi l’importance de l’expérience qui aujourd’hui n’est plus considérée comme élément probant.
Ainsi, dans tous les messages de dépistage, dans tous les traitements dit préventifs, il n’y a aucune place pour l’expérience car le médecin ne peut pas voir le résultat de son action dite « préventive ». Il fait alors confiance aux études, aux statistiques toutes plus positives les unes que les autres. Mais est-ce que ces études sont vraiment « fiables » et deuxième question ( encore plus importante) le résultat de ces études est-il transposable dans la vie réelle ?
Pour les progrès à venir, j’avoue être assez dubitatif et lutte pour ne pas « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Merci d’avoir eu la tolérance d’écouter mes élucubrations de lendemain de garde !
Pour ma part, j’ai vécu à deux reprises une sorte de passion, d’emballement vis à vis de la lecture d’articles. Au début de mon internat, puis récemment dans le sport après le marathon de Berlin.
Maintenant, je prends du recul.
Je ne rejette pas cette façon de travailler, j’espère juste avoir élargi ma palette d’outils pour réfléchir et agir face à ce qui m’intéresse.
(ça ferait de belles idées de billet toussa… mais aujourd’hui aussi je sors de garde ;))