Hello !
Comme je vous le disais hier sur Twitter, mon cerveau turbine depuis mon écoute de votre interview dans Nouvelle Ecole. Moi non plus je n’aime pas les longs mails, alors je fais une pirouette et hop un billet de blog ! (Merci les podcasts ! anecdote : j’ai participé au démarrage d’un podcast de course à pied avec une connaissance que nous avons en commun : Marjolaine « Rapog »)
Nous avons quelques similarities, j’utilise à dessein ce mot parce que je l’imagine un peu plus faible que « points communs » mais je me trompe peut-être.
Je pense que nous sommes un peu de la même génération. Les démos me fascinaient à la fin de Microkids. Et j’ai bien essayé un peu sur l’Amstrad de mon père mais je suis finalement resté au stade des pokes dans Discology 😉 Je comprends aussi la fascination pour l’air et la mécanique des fluides. C’est une composante importante de mon métier au quotidien. Et à propos de l’aérodynamisme, j’ai personnellement goûté aux filets qui se décrochent des ailes un peu trop longtemps et depuis j’ai décroché pour de bon. C’était pas loin de chez vous d’ailleurs (KSEE). Bon, je me suis aussi bien amusé, je ne regrette pas.
Et surtout : le triathlon.
Voilà l’objet de ma lettre ouverte. Je ne suis pas doué en sport. Mon corps est ce qu’il est et je peux pas prétendre à des exploits. Il a déjà été pas mal rafistolé. Mais, j’aime l’idée de mettre tous les atouts de mon côté pour faire de mon mieux avec ce que j’ai. C’est ainsi qu’au fil des années, j’ai construit un outil de suivi de la charge d’entrainement. Il s’agit d’un outil moche, hautement inspiré des metrics de Training Peaks avec quand même des petits twists intéressants.
Ce sujet intéresse souvent les triathlètes, surtout les plus performance-oriented, mais l’investissement dans la compréhension et l’ergonomie annulent les avantages.
Depuis hier, je rêve d’une belle app, simple et efficace permettant d’indiquer à l’athlète des choses comme le volume d’entraînement à faire aujourd’hui pour rester dans le bon range de fitness, quelle borne supérieure à respecter pour ne pas se brûler les ailes ou la visualisation d’un bon tapering.
Je ne vous écris pas en fantasmant sur un business lucratif. Si j’étais money-driven je ne serais pas médecin à temps partiel à l’hôpital public (l’autre partie du temps étant dédiée à la famille et au tri :)). Par contre, j’adorerais vraiment avoir, utiliser et distribuer une app efficace plutôt que mon spreadsheet tarabiscoté. Et surtout, surtout, surtout, vivre un projet et son aboutissement est un moteur de vie pour moi. Alors, j’imagine que vous aurez forcément des idées à ce sujet 🙂
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Merci