Lorsque j’ai débuté il y a un peu plus d’un an, je me souviens d’une sortie, seul, dans le vent avec ma veste de rando en Gore-Tex. Après avoir manqué de m’envoler une paire de fois dans le fossé, j’ai compris qu’il était préférable de rouler avec des vêtements moins amples. Plus tard, la force du groupe m’a envoyé rouler au cœur de l’hiver flahute et après avoir perdu une dent et pas mal de naïveté lors d’une certaine sortie hivernale, j’ai compris qu’il fallait que je m’équipe un peu mieux. Moi qui adore dépenser des sous, j’étais servi 🙂 J’ai dégainé Google et je me suis lancé dans une de mes activités favorites : le lèche-vitrine sur le web.
Étiquette : vélo
Hello,
voici un petit tableur pour estimer la puissance moyenne développée sur un effort type contre-la-montre. Dans ce modèle simplifié, je n’ai pas tenu compte du vent. Ainsi, ça reste cohérent si le vent est faible et/ou si vous faites un circuit type boucle ou un aller-retour sur une portion de route.
Vous pouvez vous positionner par rapport aux pros en regardant leur graphiques de puissance en fonction du temps de l’effort. Pour vous donner une idée, l’élite mondiale de triathlon flirte avec 4 W/kg pendant la portion cycliste d’un Ironman.
Ça n’est qu’une estimation.
^ Bonus : un instant de grâce sur le pont, vent dans le dos, 35 km/h sans donner un coup de pédale 🙂 ^
J’adore me déplacer en vélo.
Le vélo ne nous laisse pas le choix. On est dehors, on quitte nos territoires protégés. La zone de confort est derrière nous. Mais, en fait, c’est à ce moment que je me sens bien. Je respire et je sens les éléments, l’humidité, les odeurs, le bruit de la ville…
Les jambes commencent à tourner doucement. Première partie, l’échauffement. Je passe en mode vigilant, à l’écoute de mon corps et alerte sur le terrain environnant.