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Trucs en vrac pour les dossiers de réanimation/urgences pour l’ECN

Traitements particuliers

Ne prescrivez jamais (dans le dossier ou la vraie vie) un traitement potentiellement dangereux que vous ne savez pas manipuler/surveiller +++ (ex drogues d’anesthésie, fibrinolyse, etc)

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Comment analyser un dossier ? (ECN)

Il est primordial d’analyser les dossiers avant de se jeter dans l’abîme de la rédaction à toute vitesse.

Une première lecture rapide doit vous permettre de diagnostiquer le degré de difficulté du dossier, sa thématique et votre attrait/aisance vis-à-vis des items abordés.

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Protégé : un dossier comme vous les aimez (ECN)

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Tout tout tout : il faut tout mettre !

Diable ! Quel mantra !

J’entends souvent lors des conférences cette angoisse surgir…

Dans la grande compétition que constitue les ECN, on veut tout mettre, tout claquer et on vise toujours le plus haut score possible.

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Comment réagir face à une question difficile ? (ECN)

Tous les étudiants qui le préparent sérieusement réussissent les questions faciles, il ne faut donc pas perdre de points sur celles-ci.

Par contre, les dossiers des ECN sont truffés de questions plus difficiles qui vont trier les résultats. Et c’est là où il faut faire la différence.

Les questions difficiles sont à mon sens de deux ordres : les imageries atypiques et les questions « plus littéraire » du type physiopathologie ou « expliquer au patient les bénéfices/risques de votre stratégie thérapeutique »

Les questions difficiles doivent être repérées à la première lecture du dossier pour bien avoir compris qu’on allait tomber sur un os.

Première chose : ne pas paniquer, si on se sent envahi par le stress, vaut mieux changer de dossier et revenir au plus difficile après avoir regagné confiance et échauffé son cerveau. Une solution peut consister à passer purement et simplement la question si elle ne vous gêne pas dans la suite du dossier (moins conseillé mais parfois possible)

Deuxième point : réfléchir ! Vous êtes étudiant en médecine, vous avez été sélectionné sur vos capacité à ingurgiter et à recracher des tonnes de connaissances. Néanmoins, on ne devient pas forcément atteint de troubles cognitifs graves du fait de la préparation des ECN : vous avez un cerveau, servez vous en. Il ne faut pas forcément avoir réponse à tout du tac au tac. Calmez, vous, réfléchissez, faites un mini-brainstorming sur votre brouillon pour trouver des idées et les organiser. S’il s’agit d’un ECG (ex de l’année dernière avec la FA et BB) ou d’un examen radiologique : faites l’analyse séméiologique. On n’a pas forcément un diagnostic au premier coup d’oeil, et c’est bien souvent comme ça qu’on se plante.  Revenez donc aux fondamentaux (comme en 1998 😉 ) qualité de l’ECG ? onde P : oui/non ? rythme ? espace PR ? morphologie des QRS ? repolarisation ? Ca évitera de vous précipiter dans le vide sans filet.

Dernier point : lorsque vous avez l’impression que vous dérapez, c’est bien souvent que vous dérapez. Revenez en arrière, réfléchissez, y’a probablement une réponse plus simple, plus uniciste et consensuelle. On ne réinvente pas la médecine ! Exemple personnel : j’ai déliré sur le dossier d’angine des ECN de 2004 parce que j’étais un fana de Malinf et j’ai diagnostiqué une diphtérie alors qu’il s’agissait d’une « bête » MNI. Forcément la suite du dossier avec la cytolyse et l’anémie hémolytique ne collait plus trop…panique… dernier dossier des ECN, plus de cerveau = gadin sur un dossier facile où l’énoncé était un copier-coller du Pilly…

Bon courage !