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Campagne de recueil de dons pour l’Hôpital Marie Lannelongue

English text down the page, thanks !

Je prépare mon premier triathlon (très) longue distance. Il s’agit d’une course au format « Ironman » : au programme 3,8 km  de nage, 180 km de vélo et 42 km de course à pied. L’événement aura lieu à Roth en Allemagne près de Nuremberg le 1er juillet 2018.

Il me tient à cœur (ahahah) de mener en parallèle à la fin de ma préparation une campagne de recueil de dons pour l’ Hôpital Marie Lannelongue à côté de Paris. Pourquoi cet hôpital ? Parce  que j’y ai été opéré en 1982. Je suis né avec une malformation cardiaque et c’est là que j’ai été réparé. Sans l’hôpital Marie Lannelongue il n’y aurait jamais eu de course pour moi, alors récolter des dons me parait naturel. La chirurgie cardiaque transforme vraiment la vie des patients atteints d’une anomalie congénitale. Je m’étouffais avec le simple effort de boire un biberon et aujourd’hui je pense pouvoir faire douze heures de sport d’affilée. Significatif n’est ce pas ? Enfin, faire un don à cette fondation permet aussi de montrer le soutien que vous m’apportez, et ça fait toujours plaisir ! merci !

Dear friends, 

I’m training for my first Ironman triathlon in Germany this summer, it’s called Challenge Roth. The deal is to swim 3.8 km, then ride 180 km and finally run 42 km. I’d like to take advantage of the months ahead to do fundraising for an hospital specialised in heart surgery. It is called Hôpital Marie Lannelongue, it’s close to Paris. I’d like to support them because I had a surgery there when I was 1,5 year old. I was born with congenital heart disease and their great care (and my parents’ nerves of steel) gave me the opportunity to live normally and practice tough endurance sports like triathlon. Giving to them will help cure young childrens from disease and make a huge difference in their future. Also, it’s an indirect way to show me your support, thank you!

J’ai choisi de vous donner le lien directement pour le Fond de Dotation de l’hôpital plutôt que de passer par une plateforme qui ponctionne une partie des dons. Ainsi 100% des dons vont à la Fondation et votre anonymat est garanti

ACCES AU SITE WEB POUR DONNER / GIVE

 

P.S. n’hésitez pas à donner beaucoup ! mais un peu c’est super aussi 😀  les dons sont déductibles de vos impôts en France

Merci !

VOS AVANTAGES FISCAUX

Les dons réalisés au profit du Fonds de Dotation Marie Lannelongue bénéficient d’un dispositif fiscal avantageux conformément au code général des impôts :

  • Particuliers : 66% du montant des dons réalisés au profit du Fonds de Dotation Marie Lannelongue peuvent être déduits de l’impôt sur le revenu dans la limite de 20% des revenus imposables. (Les dépassements de ce seuil seront reportables sur 5 ans)
  • Entreprises : 60% du montant des dons réalisés au profit du Fonds de Dotation Marie Lannelongue peuvent être déduits de l’impôt sur les sociétés dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaire. (Les dépassements de ce seuil seront reportables sur 5 ans)

Par exemple, après déduction fiscale, un don de 100 € ne vous coûte en réalité que 34 €.

Votre don L’hôpital Marie Lannelongue reçoit Vous pourrez déduire de vos impôts Votre don ne vous coûte que
50 € 50 € 33 € 17 €
100 € 100 € 66 € 34 €
150 € 150 € 99 € 51 €
200 € 200 € 132 € 68 €
500 € 500 € 330 € 170 €
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De l’importance des zigzags

 

« des zigs et des zags, ça fait toujours des kilomètres » et « de l’importance de savoir ne rien faire » : deux aspects de ma philosophie de vie.

J’ai envie de raconter plein de choses. Je réfléchis à donner un peu de cohérence à tout ce qui me traverse la tête et ce qui sort de ma réflexion c’est une nouvelle fois (cf ici) l’importance de louvoyer entre des habitudes, une régularité, une certaine forme de fidélité à soi même et le bénéfice de s’écarter régulièrement de son mode de fonctionnement pour aller se nourrir de nouveautés et remettre en question ses pratiques.

Mon principal ressenti récent est autour de la gestion du sommeil en perspective de mon objectif de l’année qui est de faire mon premier triathlon format Ironman. Je rappelle qu’un triathlon de cette distance c’est 3,8 km de natation en eau libre, 180 km de vélo et 42 km de course à pied. Ironman est une marque, je vais participer à une course de cette distance qui n’est pas organisée par la marque Ironman : Challenge Roth.

Pour moi, la préparation de ce genre d’épreuve relevait de l’opération commando. Il y a tout un imaginaire qui s’est mis en place autour de ça, et lorsque la personnalité de Jocko Willink est apparue dans mon fil Facebook (via le groupe Facebook de notre coach) ça a fait totalement sens avec mon objectif.

Cela faisait encore plus sens que pour le petit garçon frêle que j’étais, les gros héros costauds m’ont toujours fortement impressionné : Rocky, Rambo ou Schwarzy dans Commando… (mettons en décalage Bruce Lee, quoique…) La figure mythique du guerrier aligné avec le divertissement américain, on pourrait dévier du champ de ce billet pour en parler mais je ne cherche pas d’explications à ça. Et pour l’anecdote, ça m’a bien plus lorsque David Goggins (un autre costaud) explique que Rocky a participé à changer sa vie.

https://youtu.be/GB-WsetrBxU?t=1m25s

Toujours est il que j’ai commencé à me lever parfois très très tôt pour caser mes entraînements au beau milieu de l’hiver. Je suis plutôt naturellement matinal, donc l’effort était modéré. Et puis la satisfaction d’arriver au travail à 8h02 en ayant déjà accompli des choses dans ma journée était un moteur puissant.

Mais, la fatigue s’installe insidieusement. Et puis, c’est normal d’être fatigué lorsqu’on s’entraine beaucoup. Ca s’inscrivait bien dans mon chemin de croix vers l’Ironman où la course serait une forme de libération dans l’accomplissement. Je sais bien que ce rythme de vie pourrait s’inscrire dans ce que mon ami Didier appelle souvent la conduite ordalique du triathlète.

Et puis, suite à des épisodes infectieux d’une banalité déconcertante, j’ai décidé de revoir ma copie. Ainsi, j’ai allégé mon état d’esprit en transférant l’organisation de mon entraînement à mon coach favori Julian Nagi. J’ai gardé ma mentalité de soldat, mais là juste sur le versant respect des ordres, plus version Rambo solitaire seul contre la terre entière.

Et le principal truc sur lequel nous avons travaillé c’est l’évitement de la fatigue, et ça passe par une organisation maligne du planning d’entrainement, des arbitrages difficiles (plus de longue sortie vélo le dimanche avec les potes) et savoir parfois se passer d’un réveil le matin.

Attention ! il est facile ensuite de glisser vers la facilité, mais la nécessaire régularité des entraînements rappelle à l’ordre ! Pas possible non plus de se vivre en mode glandeur la préparation à ma course de l’année… mais il est intéressant de constater que lorsqu’on introduit un peu plus de facilité on est vite aspiré par celle-ci. Il faut conserver de la discipline !

Aujourd’hui, je me sens beaucoup mieux, je pense que je progresse sportivement et je vais m’entraîner sans lassitude. Que du positif ! Bien sûr on peut lire partout l’importance de la récupération quand on sollicite beaucoup son corps. Toute la difficulté est de savoir régler les curseurs, c’est véritablement une sagesse que se connaître suffisamment pour savoir lever le pied convenablement. Et c’est véritablement en ne faisant rien qu’on évite les ennuis (réflexion à mettre en parallèle avec l’anesthésie). Cette face en négatif de l’entraînement n’est pas évidente à appréhender et j’ai l’impression de passer un cap en faisant la transition d’une connaissance théorique à la mise en pratique.

Enfin, je peux dire que malgré ma sensibilité aux figures héroïques et aux champions en général, j’apprends progressivement qu’il est intéressant de s’inspirer d’eux, de faire marcher son imagination autour de ces personnages sans copier leurs comportements ou leurs entraînements. Encore une fois, il faut louvoyer pour trouver sa voie.

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Une apple watch pour faire du sport

J’ai acheté une Apple Watch Series 3 (AWS3). Mon déclencheur d’achat a surtout été les évolutions de WatchOS et la possibilité d’écouter des podcasts sans avoir son téléphone sur soi (en bidouillant un peu). Je n’ai jamais mis de brassard à téléphone, je n’aime pas trop ça et juste une montre au poignet (enfin ptêt deux ;)) me séduit.

Vous me connaissez, je ne vais pas faire une présentation ou des tests exhaustifs. Nakan.ch et DCRainmaker font ça superbement. Il y a aussi le blog de Ian, triathlete, focalisé sur l’utilisation de l’Apple Watch Series 3 pour sa prépa Ironman

Lorsque l’Apple Watch est sortie en 2015, je me souviens avoir été super déçu des capacités de la montre. Je me disais que Garmin avait encore de beaux jours devant eux. Je ne comprenais le pari sur la montre comme accessoire de mode. En tout cas, je n’étais pas le coeur de cible et en bon fan boy, j’étais déçu qu’Apple ne semble pas vouloir de mon argent. Récemment, Apple a mis le paquet sur le côté fitness, et les progrès ont été substantiels. La firme de Cupertino (j’écris comme les sites de new Apple ;)) a monté un énorme labo pour rentrer pleinement dans le monde du fitness. Tout ça se sent dans l’AWS3.

Commençons par ce qui me plait vraiment dans l’AWS3 :

  • la configuration au déballage et au quotidien est facile (cf les difficultés de liaisons Bluetooth avec d’autres produits)
  • l’écran explose toute la concurrence
  • le combo Apple Watch + Airpods est top (ça arrive chez Garmin…)
  • la natation en piscine qui gère toute seule les pauses au bord du bassin
  • les données sont cohérentes (FC, allure, distance, VO2max dans l’app Santé)
  • l’ergonomie et légèreté de la montre
  • la batterie qui tient bien le coup pour ce que je fais de la montre
  • la connectivité avec le téléphone qui est solide, en eau libre, avec mon téléphone dans ma bouée, je pouvais envoyer des SMS avec Siri 🙂
  • Siri au poignet m’a vraiment fait passer l’envie de découvrir les enceintes-assistants personnels

Ce qui est un peu neutre mais intéressant :

  • Le suivi d’activité est performant
  • Les apps Activité/Santé ne sont pas à mon goût mais y’a un joli potentiel de croissance et d’amélioration
  • La visualisation de la FC en récupération
  • Les données de VO2max me paraissent cohérentes, au bémol près qu’elles fluctuent un peu trop vite
  • les bracelets se changent super facilement, s’ils étaient un peu moins chers, je me ferais une petite collection 🙂

Ce qui est un peu gênant :

  • l’écran tactile en nageant et la nécessité d’expulser l’eau
  • l’écran tactile impraticable avec des gants
  • pas de mode dédié « Musculation/Fitness/Crossfit » ! je suis vraiment étonné de ça. Ca va arriver pour sûr. (Il doit y avoir des apps tierces). Ceci dit le mode HIIT de la montre est censé répondre à cette activité.
  • pas d’utilisation « facile » des datas, exportation par app tierces, etc.
  • pas beaucoup de champs de données affichés, avantage sur la simplicité et l’affichage mais ça déroute un utilisateur avancé
  • pas de connexion ANT+ mais ça n’est pas étonnant
  • pas de possibilité de relier un capteur de puissance facilement (il faut passer par une app tierce et je pense qu’il faut avoir son téléphone avec soi mais je n’en suis pas sûr)
  • la batterie file quand même vite en activité

L’analyse des données recueillies sur l’AWS3 est un peu frustrante, pour retrouver vos données sur les autres plateformes, il y a aujourd’hui des solutions payants comme HealthFit ou RunGap.

En conclusion, je ne me vois pas faire un triathlon avec, mais sincèrement lorsque je lèverai le pied, je trouve que cette montre suffirait ! En l’utilisant plusieurs semaine d’affilée au quotidien, mon avis est bien plus solide et enthousiaste que lors de mon déballage pour aller à la piscine. Avec du recul, j’ai clairement précipité mon avis sur l’AW à la piscine. Garmin : brace yourself !

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La natation avec une montre de sport Garmin

Dans les derniers jours j’ai eu plusieurs conversations sur la précision des montres Garmin en natation. Pour moi, ça fonctionne très bien. Simplement, il y a juste quelques trucs auxquels se plier si vous voulez des données fiables :

  • montre au poignet, correctement serrée
  • vérifiez la longueur de la piscine dans votre montre
  • poussez au démarrage et lors des virages. Vous pouvez faire une culbute ou un virage ouvert, les deux fonctionnent bien (oui oui c’est pour ça que je vous fait c**** à toujours me faufiler jusqu’au mur)
  • si vous arrêtez au mur, appuyer sur LAP, réappuyez sur LAP quand vous redémarrez
  • essayez de rester régulier dans vos dépassements
  • évitez les collisions ! sic
  • si vous faites des exos particuliers, genre des battements de jambes (quelle idée…), c’est là qu’il faut absolument utiliser la fonction Journal d’entraînement (traduction hasardeuse de drill log je vous l’accorde) qui vous permettra de rentrer manuellement la distance que vous avez faites à la fin de cet « éduc »
  • ne changez pas de type de nage en cours de longueur, pour les exos du style 100 m quatre nages, il faut utiliser la fonction « Journal d’entraînement« 
  • Pour afficher la fonction Journal d’entraînement, il faut aller dans les paramètres de Natation en piscine, Ecrans de données, Ajouter l’écran Journal d’entraînement. Maintenant, lorsque vous vous apprêtez à repartir pour un éduc où votre mouvement sera très différent de d’habitude, basculez de votre écran de pause habituel vers le journal d’entraînement par un appui vers le bas pour afficher l’écran de données « Journal d’entraînement », commencez l’éduc par un appui sur LAP (comme à chaque vous que vous redémarrez). Lorsque vous vous arrêtez à la fin des longueurs en « éduc », lors de l’appui sur LAP la montre vous demandera la distance parcourue.

  • Si vous vous voulez corriger vos données a posteriori, le site http://www.swimmingwatchtools.com/ fait ça gratuitement. Il suffit de récupérer votre fichier original sur Garmin Connect en cliquant sur la roue dentée en haut à droite de la page  d’activité. Ensuite vous pouvez retélécharger chez Garmin le fichier corrigé (ou pas… moi je me contente de savoir quelle allure moyenne ça fait réellement après avoir corrigé la longueur en trop ou en moins)

Nagez bien !

Update, fin 2019/début 2020, une reconnaissance automatique des pauses au bord du bassin a été introduite avec la montre Garmin Swim 2 et cette fonctionnalité a été poussée vers les derniers modèles de montre multisport comme la Fenix 6. J’ai essayé, ça fonctionne plutôt bien. Mais je suis tellement habitué à appuyer sur LAP en arrivant au mur que je n’utilise pas cette fonction.

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Coaching nage en eau libre avec Julian Nagi

J’ai commencé à vouloir nager le crawl en 2014. J’ai participé sur un coup de tête à l’Aquathlon de Lille en mars de cette année. J’ai brassé pendant 950 mètres sur les 1000 je pense ! C’était marrant d’être dans les derniers (j’étais à 5-7 minutes des premiers je pense), il y a plus d’encouragements !

J’ai persévéré en augmentant ma fréquence de visite à la piscine. Je ne nageais pas vraiment bien mais j’essayais de faire de plus en plus de longueurs en crawl. Ca relevait autant du défi pyschologique que physique d’ailleurs.

Peu après, j’ai acheté par hasard un livre sur la méthode Total Immersion, et je me suis organisé pour prendre un cours avec un enseignant de cette méthode. Cela a été une réussite pour moi car j’ai gagné mes premières sensations de glisse et plus de sérénité dans l’eau.

Au début, j’ai continué à faire les exercices comme des gammes, et puis j’ai enfin trouvé un truc que je cherchais : juste l’aisance qui me permettait de ne plus me battre dans l’eau. Je prenais du plaisir. J’étais lent mais ça me plaisait.

En 2015, j’ai nagé comme j’ai pu. Dans la deuxième partie de l’année, J’ai rejoins un club de natation local pour profiter d’une séance à des horaires qui me convenait. Les exos ciblés « club de nat » ne m’ont pas plus (et vazy les battements de jambes…) mais en passant du temps dans l’eau des petits progrès se font.

Après, si je regarde les choses en face il faut quand même bien constater que je stagnais.

J’ai pris rendez-vous avec Julian Nagi, un coach anglais que j’ai trouvé via le web. Le parachutisme m’a appris qu’il faut savoir se bouger pour aller voir le bon coach, quitte à faire quelques kilomètres.

Me voilà donc un jeudi matin dans le chouette quartier d’East Acton à Londres. IMG_5821Le cadre change drastiquement de ma piscine municipale défraîchie.

Après une petite discussion sur mon passé sportif et mes objectifs, me voilà dans le bain pour quelques longueurs à 8:30 am

IMG_5818

Un test de 400 m plus tard, Julian m’explique les bons points de ma nage. J’ai été agréablement surpris, du positif ?! je prends 🙂 Ensuite, ce que j’ai particulièrement apprécié c’est qu’il est clairement orienté nage en eau libre et triathlon. Le discours est enfin différent de celui des nageurs pur souche. Julian prône l’efficacité à l’entraînement pour répéter la même chose en course. It makes sense !

Une longueur punchy avec les optimisations :

Ce que je retiens c’est qu’il n’y a pas besoin de chercher à avoir un style académique pour nager efficacement, la respiration d’un seul côté va m’aider à aller plus vite et l’utilisation régulière du pull-buoy va renforcer mon plaisir.

Dans les suites de ce coaching, je repars boosté comme jamais pour aller m’exercer à la piscine. J’ai été convaincu par le discours de Julian car j’ai immédiatement perçu une différence en efficacité, mesurable sur le chrono. En conclusion, un verrou mental vient de sauter pour me permettre de viser les très longues épreuves, et ça c’était peut-être le plus important !

Update : Quelques semaines plus tard :

 

et j’ai sensiblement amélioré mon chrono sur distance 70.3, presque 10% de mieux !

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Update 2018 :

 

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VeloViewer, tout ça pour ce prix là ? oui oui c’est possible !

J’adore VeloViewer. Graphs que vous ne trouverez pas ailleurs, simplicité d’utilisation et prix super raisonnable : 9,99 pounds l’année ! Il n’y a donc aucune raison de s’en priver !

Voyez un peu ce que ça sort en deux coups de cuillères à pot :

Un résumé de vos exploits 🙂

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Bilan sportif 2014

2014 a été une année pleines de découvertes sportives pour moi. Il y a eu des hauts et des bas, mais je me trouve quand bien chanceux d’avoir pu m’amuser comme ça !

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Les sites web d’analyse de l’entrainement sportif 3/3

Dernier site en revue : SportTracks.mobi Ce site est le petit frère d’une application PC qui a un gros succès du fait de ses analyses puissantes.

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L’endurance et l’athérosclérose : trop de sport tue le sport ?

On peut faire du sport pour plein de raisons : pour se dépasser, pour l’amour de la compétition, pour oublier des soucis, pour le lien social, etc. Beaucoup font du sport pour rester en forme.

Avoir une activité physique régulière est très positif en matière de santé physique et mentale. Le sport peut jouer un rôle dans l’amélioration et la prévention de nombreuses pathologies. Une équipe de chercheurs taïwanais a mis en évidence dans une énorme cohorte de plus de 400 000 personnes suivis sur 8 ans que 15 minutes d’activité physique modéré par jour conférait une baisse de 14% de la mortzalité toutes causes confondues .  Ainsi il devient difficile aux couch potatoes de se défendre derrière l’argument churchillien que l’activité physique serait dangereux pour la santé.

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Les sites web d’analyse de l’entrainement sportif 2/3

Après le descriptif de Smashrun.com, je vais vous causer de Training Peaks (TP). C’est probablement le site anglo-saxon le plus prisé des sportifs à haut niveau d’entrainement comme les triathlètes. TP permet en effet de lister toutes vos activités sportives et se montre particulièrement attentif à la course à pied, le vélo et la natation. Il y a pour moi trois points forts qui pousse à se tourner vers TP : leur analyse des entrainements avec la quantification de la charge (score TSS),  la clarté de l’interface  (en pratique la béta est stable -on n’est pas chez Garmin-) et la possibilité de planifier l’entrainement à long terme et de souscrire à des plans personnalisés  avec suivi (payant en sus de l’abonnement)

Le calendrier dans la version béta de TP
Le calendrier dans la version béta de TP
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Premières impressions de la Fenix 2

Séduit par les fonctions de la dernière née de Garmin j’ai choisi de basculer vers la Fenix 2. Je me suis donc rendu dans ma boutique préférée pour en faire l’acquisition après avoir salivé devant la revue de Ray Maker.

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Acides aminés ramifiés (BCAA) et boisson de l’effort

Les acides aminés ramifiés (AAR) sont à la mode. On commence à en voir apparaître de plus en plus dans les boissons de l’effort. Ces acides aminés doivent être apporté en quantités suffisantes pour en bénéficier. Je n’ai pas de données solides à vous présenter mais mon pifomètre dirait de l’ordre de 0,1 g/kg/jour.

Malheureusement la littérature scientifique n’arrive pas à nous expliquer s’il faut prendre ou non ces nutriments en complément de l’eau sucrée pendant un effort. De plus les AAR ont mauvais goût et sont difficilement miscible à l’eau ce qui pose problème pour créer sa boisson de l’effort soi-même à moindre coût.